Sacré défi ce mercredi 9 mars : faire découvrir aux élèves, parfois très petits, de Madame Martine (classe de l’antenne de Fouron-le-Comte) l’univers de José Parrondo…
Pour commencer, on observe les livres…
Et on écoute attentivement une histoire… (« Le Monstre au pays des Princesses », un extrait de « Allez raconte… plein d’histoires » de Lewis Trondheim et José Parrondo, édité aux éditions Delcourt)
Il y a beaucoup de « trous » dans l’oeuvre de l’auteur…
Et aussi… des tas de choses à construire
Marie-Elise traduit en néerlandais, pour les deux petits élèves néerlandophones
On crée…
Et on s’exerce à la psychomotricité… (pas facile de faire passer toutes les balles dans les trous !)
Puis on fabrique une belle couverture de livre, en dessinant ou en collant (ou les deux)
Pour terminer, on regarde un dessin animé…
Le lundi suivant (14 mars), c’était au tour des 5ème et 6ème (classes de Madame Marie-Ange et Madame Liliane).
Au programme : découverte de l’univers de l’auteur par la lecture, le jeu, et une « animation écriture »…
Extraits du carnet d’animation de Catherine Daele, comédienne, auteure et animatrice d’ateliers théâtre-écriture.
Le mercredi 16, visite des classes de 1ère et 2ème années, avec Madame Geneviève
L’activité qui leur a été proposée était quelque peu différente de celle des 5-6. Plus axée sur les arts plastiques que sur l’écriture, elle donnait aux enfants l’occasion de réaliser leurs propres dessins sur des thèmes souvent exploités par José Parrondo dans ses livres.
[carnet conçu pour l’exposition par Emelyne Delfosse, illustratrice et animatrice liégeoise]
Les élèves de 3ème et 4ème années, accompagnés de Madame Sandrine, sont quant à eux venus nous rendre visite le vendredi 18.
Tout comme les 1ère – 2ème, eux aussi ont reçu un « Carnet d’Expo Parrondo »
Le jeudi 24 mars, les maternelles de Fouron-St-Martin (classe de Madame Marie-Noëlle)
On lit…
On joue…
On s’applique pour écrire son prénom sur le panneau souvenir
Et on travaille… (une belle couverture de livre, avec des monstres et des princesses, comme dans les histoires de José Parrondo)