Quatrième de couverture
Si vous commencez le roman de Sarah Maeght, vous ne le lâcherez plus… Ses phrases galopent, ses mots crépitent. Elle raconte avec rage et pleine d’espoir le quotidien d’une prof, les errances d’une fille de vingt-quatre ans qui ne sait pas très bien où elle va. C’est où, le nord ? Elle l’ignore. Mais elle y va gaiement.
C’est le portrait d’une génération, une photographie de la France d’aujourd’hui, un verre de grenadine avec trois doigts de désespoir et quelques substances interdites. Les jeunes s’y retrouveront, les parents qui se posent des questions aussi. Des romans comme celui-là, on les ouvre et on reste planté à tourner les pages, la langue pendante…
Sarah Maeght n’a pas peur de l’émotion, elle ne triche pas, et c’est pour ça que vous allez l’adorer !
Le +
Le –
Bref
Un premier roman qui se lit très vite. Malgré quelques « défauts », il ne manque pas de qualités. Je n’ai pas eu de véritable « coup de coeur » mais j’ai néanmoins passé un bon moment. Si vous êtes tenté(e), n’hésitez pas.
Pour qui ?
Les grands ados, les jeunes adultes (ou ceux qui le sont restés)
Pas de coup de cœur pour moi non plus mais c’est un roman agréable à lire. Ca se lit vite, les mots crépitent, comme le promet le 4eme de couverture.
Pas de coup de cœur, disais-je, mais je n’ai pas pu le déposer avant de l’avoir fini. C’est qu’il vaut quand même le coup d’y consacrer quelques heures.